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L'univers de Sternhom

23 mars 2011

A suivre...

Voila je commence ici le Fil rouge de ce blog, c'est à dire le rendez-vous hebdo. Je vais mettre et ce toutes les semaines un bout d'un scénario qui lui est complet pas comme le post précédent qui n'était qu'un jet d'une idée. Le style s'oriente vers le film policier noir. je vous souhaite une bonne lecture, en espérant que ça vous plaise.

 

 

Meurtre au « 7 mers du globe »

 

 

Plan d’ensemble sur une métropole. La caméra se rapproche lentement, le fond musical est Mambo Italiano. La caméra entre dans un bâtiment. Lancement du générique sur le trajet effectué par la caméra. La caméra s’arrête, fin du générique, sur un bureau où sont disposés plusieurs objets tel qu’un téléphone, une tasse de café, des dossiers, un ordinateur etc…

Une voix se fait entendre : «  Salut les gars ! » la caméra se pose désormais sur un homme d’environ 50 ans, cheveux grisonnant, légèrement enrobé avec un moustache impressionnante apparement bien entretenue. Il prend la parole :  «  James, dans mon bureau s’il-t-plaît. »La caméra effectue un 180° et se retrouve face à un homme d’environ 30 ans, il est vêtu d’un imperméable noir, un pantalon de costume noir également et une chemise noire rayée blanche. Il a une cigarette dans la main gauche. Il prends la parole :  « Qu’est-ce qu’il se passe chef ?

Le chef :  Entre, met toi à l’aise . »

La caméra avance vers une encadrure de porte et s’arrête sur le seuil de celle-ci. Dans le champ de vision on voit apparaître un bureau meublé comme ceux des anciens détectives privés des années 30. Les deux personnages sont dans la pièce le premier homme indique un fauteuil au second. Il s’agît d’un fauteuil à accoudoir plein tout en cuir de couleur chocolat intense. Le premier homme s’installe derrière son bureau que l’on devine taillé dans du chêne massif . Nos personnage sont alors assis et entame un discussion. C’est le chef qui prend la parole en premier :  « Bon, je ne vais pas y aller par quatres chemins. On à retrouvé un cadavre ce matin, et pas n’importe où. C’est au « 7 mers ». Et quand à l’identité aucune recherche à faire on saît tous de qui il s’agît. Mais je ne sais pa si c’est bon pour toi que je te mette sur cette aff…

James (coupant la parole ) : Allez bordel, qui c’est ?

Le chef : Bon je ne saît comment tu va le prendre, mal certainement. Il s’agît de Valéria KORDER.

James ( au bord des larmes et énervé) : Mais merde ! Putain mais c’est pas possible ! C’est pas elle, c’est une doublure. On à pas pu la tuer .

Le chef ( essayant d’appaisé James) : Doucement, voilà. Je te file l’enquête mais soit discret et concentré. Bon, fonce! Les bleus sont là-bas et j’aimerai pas qu’ils fassent des conneries. A oui, le toubib y sera sûrement aussi . »

Changement de plan, la caméra est maintenant en extérieur en plongée sur un parking aérien. James se dirige vers une voiture à l’allure sportive mais la marque nous est inconnue. Fondu enchaîné sur la façade d’un immeuble sur lequel sont écrits les mots suivant : «  7 Mers Du Globe Palace ». La voiture de James entre dans le plan et s’arrête au pied d’un voiturier qui semble le connaître puisque ce dernier le salue chaleureusement. La caméra avance derrière James qui se dirige vers le comptoir. Le luxe est l’aspect premier du hall de l’hôtel, des lustres en diamant pendent des plafonds aux moulures travaillés. James repart et se dirige maintenant vers le fond d’un couloir. Le sol est recouvert d’une moquette d’aspect moelleux et d’un blanc immaculé ce malgré les mouvements de plusieurs personnes croisant le plan de la caméra. James est devant un ascenseur. Il entre dans la cabine et appuie sur le bouton correspondant au 12ème étage. Les portes se referment. Fondu enchainé sur le visage de James sortant de l’ascenseur à l’étage souhaité. La moquette au sol fait maintenant pensée à un tapis rouge de festival. James passe dans le champ de la caméra qui effectue un mouvement circulaire à 180° afin de pouvoir le suivre. Il avance vers une porte au fond du couloir qui semble être entrouverte. Des bruits de conversation constituent le fond sonore. James pousse le battant et entre dans la pièce.

 

A Suivre...

 

 

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21 mars 2011

Commencement

Salut et oui, il faut bien commencement à tout. Je vous met ici le premier texte qui m'est passé sous la main, il s'agit d'un début d'essai de scénario. J'espère que mon écriture vous plaira. Bonne lecture. N'hésitez pas sur les coms j'attends vos critiques et remarques avec impatience^^.

 

 

Générique. Fond musical : I hate everything about you  du Groupe  Three Days Grace

 

1er plan : Fondu noir vers le visage d’un homme aux traits fatigués, environ la trentaine, barbe de trois jours. Il est brun, porte des lunettes de vue à la monture fine et épurée. Passage lent à un plan large. On voit que l’homme se tient debout appuyé sur une pelle à l’orée d’une forêt. La teinte des feuilles nous indique que la scène se passe en automne. Notre homme est vêtu d’un jean, d’une chemise mauve et d’une gabardine bleue marine. Les bruits du vent et de la nature composent le fond sonore. L’homme se met à marcher vers la caméra. Il passe à la gauche de celle-ci. La caméra reste fixe. Fondu enchainé sur une propriété. Un message apparait au bas du plan : Un an plus tôt. Ce dernier nous place alors dans un nouveau contexte temporel. La caméra effectue un travelling circulaire autour de la propriété. Il s’agit d’une maison de style colonial. La caméra s’arrête sur une verrière. Le fond sonore est celui de la nature ainsi que de la circulation. La caméra zoom alors sur les mouvements de deux personnages à l’intérieur du bâtiment. Sont présents : un homme, une trentaine d’années, de forme physique apparemment bonne. Il est vêtu d’un costume noir, est rasé de près, brun et porte de fines lunettes  de vue. Il mesure environ 1,80 mètre. En face de lui se tient une femme de la même tranche d’âge. Celle-ci semble nerveuse. Elle est blonde, les cheveux mi-longs. Elle porte un pantalon noir et un chemisier blanc. Elle mesure approximativement 1,70 mètre. Tout deux semblent discuter vivement mais les carreaux de la verrière nous empêchent d’entendre ce qu’il se dit. L’homme sort du champ par une porte situé dans la pièce. La femme reste sur place quelques secondes puis passe la porte à son tour .L’inconnu réapparait et sort par une porte latérale de la verrière, qu’il laisse ouverte. Il a une tasse dans une main et une cigarette qu’il porte vers sa bouche dans l’autre. La caméra se dirige vers lui lorsqu’une voix féminine se fait entendre : « Chéri, je pars travailler. A ce soir. »

L’homme répond : «  A ce soir. »

Celui-ci tire une bouffée sur sa cigarette et boit dans sa tasse puis se dirige vers le coté droit de la demeure. La caméra le suit lentement. Une berline de marque allemande, de couleur gris métallisé, apparait dans le plan. L’homme cale sa cigarette dans le coin de sa bouche et dirige sa main vers l’une de ses poches de pantalon d’où il sort un boitier électronique. La voiture émet un bip signalant le déverrouillage des portières. Notre homme se dirige vers le pan de mur le plus proche et pose sa tasse sur ce que l’on devine être un rebord de fenêtre. Il revient vers le véhicule, ouvre la portière conducteur et s’installe derrière le volant tout en jetant sa cigarette vers le lointain .Le bruit du moteur se fait entendre. L’homme se tourne sur son siège et le véhicule se met à reculer lentement. La caméra reste sur place. Le véhicule est maintenant de profil sur la chaussée et se dirige vers la droite du plan avant de disparaître.

Changement de plan. La caméra est maintenant devant une vitre fumée sont inscrit en lettres dorés les mots suivant : Maître VESPER Avocat. Des bruits pas se font entendre derrière la porte et une silhouette se dessine sur la vitre. Un homme semble être au téléphone. On perçoit la conversation : «  Oui, je comprend monsieur. Peut-on convenir d’un rendez-vous ? Disons lundi prochain vers 14 heures. Très bien, dans ce cas je vous attends. A lundi monsieur. » La caméra s’avance vers la porte et un bras apparaît dans le champ. La main saisie la poignée et ouvre la porte. Notre homme à la berline se tient assis derrière un bureau de style contemporain sur lequel est ouvert un agenda à la date du 17 octobre. Ce dernier semble prendre des notes sur une feuille lorsqu’il lève la tête et se rend compte qu’il a de la visite. Il se met alors debout et avance vers la caméra tout en contournant son bureau la main prête à serrer celle de son visiteur dont la caméra est la personnification en disant : «  Bonjour monsieur. Installez-vous. » En indiquant de sa main libre deux fauteuils du même style que le bureau. L’homme se réinstalle derrière le meuble et range ses écrits dans un dossier qui se trouvait sur une pile à gauche de lui. Il reprend la parole : « Alors monsieur, quel est le motif de votre visite ? » La caméra qui vient de s’installer observe alors autour d’elle. Au fond de la pièce se trouve une grande baie vitrée donnant sur le centre d’affaire d’une grande ville. Sur le mur de gauche on peut voir deux bibliothèques pleines d’ouvrages divers et sur le mur de droite, des cadres exposants divers diplômes et photos de famille de notre avocat. Une voix se fait alors entendre : «  Voilà maître, je me nomme Arthur SILGAN. Si je viens vous voir c’est parce que j’aimerai entamer des procédures de  divorce. Ce qu’il ya, c’est que je sens qu’avec mon épouse ce n’est plus possible. Nos centres d’intérêts ne sont plus les mêmes, on se parle de mois en moins. Même le l’amour n’est plus aussi présent qu’au début. »

  L’avocat : «  Dites moi monsieur, y’a-t-il d’autres raisons qui peuvent vous poussez à déclencher cette procédure ? Des soupçons d’adultères peut-être ? »

 Le visiteur : « Je ne sais pas, je ne l’espionne pas mais il est vrai qu’elle rentre de plus en plus tard du travail, elle semble penser à autre chose qu’à notre famille lorsqu’elle est à la maison. Il arrive qu’il y ait des coups de fil étrange le week-end qui la pousse à quitté la maison et donc à passer moins de temps avec notre fille. »

 L’avocat : « Et quel âge a-t-elle ? »

La voix : «  Elle vient d’avoir 35 ans. »

L’avocat : «  Non pas votre femme, votre fille. Quel âge a-t-elle ? »

La voix : «  Pardon. 7 ans. »

L’avocat : «  Je vois, j’ai un fils du même âge. Bon je crois que l’on va en rester là pour aujourd’hui. Essayez de trouver des éléments qui pourraient faire avancer les choses. Du genre qui lui téléphone le week-end, où vas t’elle lorsqu’elle quitte le domicile, pourquoi rentre-t-elle tard le soir. »

La voix : « D’accord, mais je ne sais comment m’y prendre. »

L’avocat : «  Je vais vous donner les coordonnées d’un détective privée. C’est ami personnel. Dîtes lui que c’est moi qui vous envoi vers lui. »

La voix : «  Merci maître. Pour les honoraires comment fait-on ? »

L’avocat : «  Ne vous souciez pas de cela pour le moment. Nous verrons cela en fonction du verdict. Je vous donne rendez-vous dans un mois. (Pour lui-même)Ce qui nous fait le 10 novembre. Pour 14 heures ça ira ? »

La voix : « Ca ira. Encore merci maître. »

La caméra passe en plongée sur l’avocat puis se retourne vers la porte. Elle se dirige vers celle-ci, l’ouvre et sort.

Changement de plan. La caméra se trouve face à un grand bâtiment de briques. Plusieurs jeunes passent dans le champ depuis toutes les directions. Une femme avance d’un pas léger vers la caméra lorsqu’elle est interpellée par un jeune homme qui presse le pas derrière elle. Celui-ci est châtain, ses cheveux lui tombent sur les épaules. Il porte un blouson de cuir marron, un pantalon treillis et un t-shirt noir. Il a une pile de livres sous un bras.

Le jeune : « Professeur VESPER ! »

Madame VESPER (se mettant de profil) : « Oui ? »

Le jeune : «  Voilà, je voulais vous posez une question au sujet du cours de demain. »

Mme VESPER: «  Vas-y, je t’écoute. »

Le jeune : «  Je voulais savoir de quel auteur on allait parler demain car j’aurai aimé prépare des questions à vous posez. »

Mme VESPER : «  Disons que je n’ai pas encore choisis. J’hésite encore entre deux. »

Le jeune : «  Allez, s’il-vous-plaît ? »

Mme VESPER r : «  Non. Surprise demain. Un conseil, fait comme d’habitude Scott. Improvise et tu me surprendras peut-être. »

Scott : « Ok, j’insiste pas. Merci quand même. A demain. »

  Il sort du champ en trottinant vers la droite du plan. La caméra reste sur place. La femme continue d’avancer et sort du plan en passant à la gauche de la caméra.

 

ps: je sais qu'il n'y a pas de titre c'est donc pourquoi je vous invite à me laisser vos idées par coms.Merci d'avance.

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  • Salut ce blog va vous permettre de lire mes essais de scénario ou de poésie voir de romans et nouvelles. Des illustration seront peut-être également présentes si ma fiancée Glicérine as un peu de temps.Liens = inspirations musicales / illu scénar
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